Aujourd'hui, j’ai modifié l’article Wikipédia sur Hirakata avec les contributions des étudiantes de jeudi.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Hirakata
Voici le texte ajouté :
Quelques dates clefs
• 530: Hirakata est mentionnée dans le Nihon Shoki.
• 1600-1688: Hirakata était une ville d'étape pendant l'époque Edo, Hirakata-juku.
• 1910: entrée en service de la ligne de train Keihan; construction de quatre gares: Kuzuha, Makino, Hirakata Higashiguchi et Kousenji.
• 1939: explosion d'une poudrière de l'armée de terre. Construction de la Poudrière Uji.
• 1947: la ville s'agrandit par jumelage de 40, 62 km² et 41.041 habitants.
• 1971: La Charte des citoyens de la ville de Hirakata est instituée.
• 1976: la population a dépassé 300.000 habitants.
• 2010: la 2e Route Keihan est entrée en service.
Si l’article existe déjà pour votre ville, mettez à jour et corrigez les informations, par exemple en utilisant l’article Wikipedia japonais équivalent.
Si l’article n’existe pas, complétez les informations et envoyez-les moi (en document attaché) par courriel.
Beaucoup de gens viennent au café le matin parce qu’on peut emporter son café.
Le café est bon ; on ne sert pas du café instantané. Les gâteaux sont délicieux, et les sofas sont doux.
Le soir, c’est aussi un bar, et on peut y manger des omelettes.
Il y a quelques inconvénients : il y a des insectes, et parfois il y a trop de monde.
NB
Les étudiantes avaient aussi proposé comme magasin :
- un magasin d’animaux
- une pâtisserie
- une supérette
Dans la petite cour, tous les habitants peuvent boire le café.
La concierge y cultive des plantes et des légumes qu’elle donne aux habitants.
Les animaux et les enfants peuvent jouer dans la cour.
Hier, en classe, nous avons résolu le mystère des frère et sœur jumeaux qui portent des noms différents, Louis Lepoulpe et Emma Valmont, et découvert la triste histoire d’Emma, veuve à 19 ans et retournée vivre avec son frère.
Tout le monde : Ecrire un petit rapport chaque semaine (10 phrases minimum ; un texte suivi)
2 personnes par semaine : une petite présentation orale de 3 à 5 minutes
- expliquer pourquoi vous avez choisi cette lecture
- qu’est-ce que vous avez aimé ?
- qu’est-ce que vous n’avez pas aimé ?
- autres réactions : commentaire personnel (utiliser la lecture pour parler de soi)
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Quand je suis dans mon lit je ne rêve qu'à toi
Et quand je me réveille je ne pense qu'à toi
Quand je suis dans mon lit je ne rêve qu'à toi
Et quand je me réveille je ne pense qu'à toi
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Si je ne te vois pas je ne peux rien dire je ne peux rien faire
Je ne peux rien voir, je ne veux rien savoir
Mon amour, ma chérie
Si je ne te vois pas je ne peux rien faire, je ne peux rien dire
Je ne peux rien voir, je ne veux rien savoir
Mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Certains t'ont promis la terre
D'autres promettent le ciel
y en a qui t'ont promis la lune
Et moi je n'ai rien que ma pauvre guitare
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Je pense à toi mon amour, ma bien aimée
Ne m'abandonne pas mon amour, ma chérie
Gurinder Chadha et Paul Mayeda Berges, Quais de Seine
- Eh, matez-moi la ficelle. - Putain, elle a un cul d’ouf, la meuf. - Eh Mademoiselle, tu me prêtes ta ficelle ? Allez, j’ai plus de fil dentaire, s’il te plait. - Oh, vise la Thaïlandaise qui arrive, là. - Eh mademoiselle, si je t’offre un thé vert, tu payes ton massage ? J’ai un bungalow à deux pas d’ici. - Rigole ! De toute façon, c’est une planche à pain. - D’accord, c’est ça. - Dans ton cul ! Je me fais plus de meufs que vous deux réunis. - Super. - Attends un peu. C’est toujours moi qui déchine les meufs. - Ben quoi, t’as raison. - Fais voir - Vas-y. Laisse faire les experts, tonton. - Bonjour, mesdemoiselles ; oh, vous êtes charmantes à croquer aujourd’hui. - Eh, c’est quoi ? Quand tu seras assez vieux pour te raser, tu me fais signe. - Espèce de crevard. Tu vois pas que tu viens de te faire jeter comme une merde ? - Lâche l’affaire ; tu la niqueras jamais ; t’es un bouffon. - Ecoute moi bien ; c’est pas moi qui suis en [ ???] avec les meufs depuis un mois
- On est en France ici - Enfoirés
- T’as vu la nana, là ? - Tu vas où, là ? Qu’est-ce qu’il fait ? - Ça va, Mademoiselle ? - Puceau à la rescousse ! - Ça va ? - Merci. - Ils m’ont lancé un sale regard. - Je suis désolé. - C’est pas grave. - Je peux t’aider ? - S’il te plait.
- Excuse-moi. - - Ça va, là ? - De quoi j’ai l’air, là ? - Attends, je vais te montrer. - Fais un petit sourire. - T’es encore plus naze pour ça que pour draguer les filles. - Mais, moi, je ne fais pas ça ; c’est mes potes qui déconnent. - Ils sont pathétiques. – Ouais. - T’as des super beaux cheveux ; pourquoi t’es obligée de les cacher sous ce truc ? - Ah mais personne ne m’oblige ; c’est moi qui l’ai voulu. - C’est dommage, parce que t’es vachement jolie. - Merci, mais ... ça veut dire que je suis pas belle avec le hijab ? - Nan, c’est pas ce que je voulais dire. - Toi et tes potes, vous connaissez que dalle aux femmes. Pourquoi vous leur parlez comme ça, alors que vous savez pertinemment qu’elles aiment pas ? Moi, si je vais être jolie, ben, c’est pour moi et quand, je le porte, j’ai le sentiment d’avoir une foi, une identité. Je me sens bien et je pense que c’est aussi ça, la beauté. Explique ça tes potes et peut-être qu’un jour, qui sait, ils arriveront à se serrer des meufs. - Faut que j’y aille. - Tu vas où ? - À la mosquée. Tu peux ... merci. Et, au fait, merci de m’avoir aidée. – De rien. - T’as craqué ou quoi, toi ? - T’es un ouf ; si tu la touches, c’est [ ???] qui s’écrase dans ta face. - Eh Mademoiselle, cherchez pas, je suis là. Et t’es en retard, là ? Attends, ça fait une heure que je t’attends, moi ? Franchement, je sais pas ce qui se passe en ce moment, mais en plus on est beaux gosses ...
- On y va ? - Salut ! Grand-Père, c’est le garçon qui m’a aidée tout à l’heure. – Bonjour – Bonjour. - Je m’attendais pas à te voir ici, euh ? - François. - Moi, c’est Zarqa. - Ça va mieux, tes mains ? - Ça va, oui - C’est très gentil à vous de l’avoir aidée, hein. - C’est normal.
- On s’en va par là. Vous venez avec nous ? - Vous êtes étudiant ? - Ouais, en histoire. - C’est très bien, mon garçon. C’est très important de connaitre son histoire. Ma Zarqa à moi, elle veut être journaliste, au journal du Monde, hein. Elle veut parler de la France et de sa France à elle. Inch Allah. – Inch Allah. – Inch Allah
On peut lire sur Rue 89 un petit article, bien illustré d’une carte interactive, sur les dernières découvertes archéologiques à Paris, avec quelques considérations sur la patience de l’archéologie préventive urbaine: Archéologie : encore des trésors sous les pieds des Parisiens.
Il regarda sa femme qui traversait la rue. Elle portait le trench rouge dont elle jurait chaque année de se débarrasser et qu’elle finissait pourtant par ressortir du fond de sa penderie d’une année sur l’autre. Elle agissait comme ça pour tout, et c’était justement cette particularité qui l’avait attiré quand il l’avait rencontrée pour la première fois. Les mêmes vêtements portés encore et encore, les grandes piles de rouge à lèvres auxquelles elle ne touchait jamais, cette chanson « Le tourbillon de la vie » qu’elle entonnait en cuisinant des quenelles faisaient désormais partie d’une vie qu’il trouvait étrangère et projetait d’abandonner entre le plat principal et le dessert. - Bonjour Madame – Bonjour Il réalisait l’incongruité à la fois étrange et logique de l’endroit qu’il avait choisi pour la quitter. C’était ici même qu’il s’était rendu compte pour la première fois qu’il ne l’aimait plus. Lorsqu’elle se mit à sourire, il fut sur le point de crier « Je vais te quitter. Cesse donc de sourire ». Il se contenta de lui offrir un peu de son kir. Ce qui lui portait également sur les nerfs avec sa femme, c’était qu’elle ne commandait jamais de hors d’œuvre, ni de dessert, mais qu’elle mangeait toujours les siens presque en entier. Et le pire de tout, c’était qu’il finissait toujours par commander ce qu’elle aimait. Je ne sais plus si j’aime vraiment les profiteroles, pensa-t-il d’un air grave et solennel. Lorsqu’elle se mit à pleurer comme il ne l’avait jamais vue pleurer auparavant, la première chose à laquelle il pensa était qu’elle savait qu’il allait la quitter pour Marie-Christine, l’hôtesse de l’air fougueuse qu’il aimait depuis un an et demi. Ça y est, pensa-t-il. Elle le sait, elle le savait depuis un certain temps ; j’aurais du m’y attendre. Sans cesser de pleurer, elle sortit des papiers de son sac à main et les lui tendit. Dans une terminologie médicale aseptisée, les papiers décrivaient un cas de leucémie en phase terminale. -Désolé. En un éclair, la raison de ce repas s’envola de son esprit et une étrange voix métallique commença à lui dire « Il faut être à la hauteur des circonstances ». Et c’est ce qu’il fit. Il commanda tout d’abord trois portions de profiteroles à emporter et il envoya un sms à sa maitresse. Il entoura sa femme de toutes les attentions qu’elle lui avait jusqu’ici réclamées : accrocher les tableaux posés ça et là dans la maison, l’accompagner au cinéma dans la matinée pour voir ses films préférés, faire les soldes avec elle alors qu’il détestait le shopping, lire à haute voix « Spoutnik, my love » de Murakami ; et tout, même les choses le plus insignifiantes, avait une autre saveur depuis qu’il savait que ce serait la dernière fois qu’il pouvait la faire pour elle. A force de se comporter comme un homme amoureux, il devint à nouveau un homme amoureux. Et quand elle mourut dans ses bras, il tomba dans un coma émotionnel duquel il ne sortit jamais. Aujourd’hui encore, après des années, son cœur s’étreint chaque fois qu’il voit une femme portant un trench rouge.
Voici la chanson fredonnée: Serge Rezvani, Le tourbillon de la vie, interprétée par Jeanne Moreau et Rezvani à la guitare dans Jules et Jim de Truffaut:
Google nous promet que les postes écrits et effacés vont réapparaître bientôt. S’il vous plait, chères étudiantes, chers étudiants, attendez encore un peu ; j’espère que nous allons revoir les deux entrées que j’avais faites sur Paris classique et sur le Pont Neuf.
- Vous partez ? Merde. Pas une de libre; quartier de merde ; radio de merde. (Son de la radio) (Son du guide du petit train) - Mais c’est pas (1) ………………... ... oui, ça va. Train de couillons ; la salope. - Déjà ? C’est pas possible. - Ah non, non, non, non. En plus, t’as une tête de con. - Je viens à l’ instant d’arriver. Alors, je suis ... voilà. - Des marmots, des marmots, des marmots. - Pas une de libre, pas une de libre ; ça devient tragique, hein. Enfin, je ne comprends pas ; j’ai tout pour plaire ; je suis encore (2)………………..., souple ; j’ai une belle voiture qui marche ; contrôle technique passé, rien à redire. Ouais, reste un petit essuie-glace qui déconne. Y a plus qu’un seul airbag, mais bon. j’ai un petit fixe mensuel pas dégueu, un humour tout à fait correct ; je peux (3) ………… de beaucoup de choses, de moi-même, qui suis risible, ridiculement seul. Mon univers, c’est une boite à gants, rien. - qu’est-ce que ... qu’est-ce que ... ? Vous m’entendez ? - J’ai ... j’ai - Hopopop. On touche à rien, là. Je suis (4) ……………….... Reste allongée là comme ça, bouge pas. Coucouche panier. Oui, c’est rien, c’est rien. Hopopop, coucouche panier, j’ai dit. - Mais, laissez-la se relever - Faut peut-être appeler les pompiers - Oh non, c’est rien. Manque de (5) ……………….... Manger des carottes, des carottes ou bien des betteraves, manger du sucre - Vous allez vous allonger dans ma voiture, vous serez mieux, hein - Ah ben voilà, coucouche panier, hein - Arrêtez avec coucouche panier ; ça devient (6) ………………... à la fin - Ce que j’en dis, hein - Ça va aller ? - Merci - Je suis désolé, j’ai rien à vous offrir. Je suis pas le genre de type à avoir (7) ………………... sur la plage arrière. - Merci. - De rien. - Vous êtes resté (8) ……………….... - Oui, c’est qu’en fait, j’ai mon brevet de secouriste. Si vous étiez vraiment restée évanouie, alors là, je vous aurais fait une PLS. - Une quoi ? - Position Latérale de Sécurité, c’est-à-dire j’essaie de maintenir votre axe central totalement dans le ... - Pouvez (9) ………………... la musique, s’il vous plait ? - Oui, oui, oui. Voilà. - Votre main sur la nuque, (10) ……………….... - Moi aussi.
- C’est-à-dire, si on pense aux dauphins, les dauphins, quand ils s’échouent sur une plage, euh, les gens les aspergent d’eau de mer avec un seau, mais (11) ………………..., bon hein, ils meurent entourés d’êtres inconnus. - Qui vous dit que ça sert à rien ? - Oui, c’est vrai - En tout cas, vous avez de chouettes (12) ……………….... - Ah, mes Clarks ... Je les ai depuis l’âge de quatorze ans. (ah bon) Mais je les mets pas tout le temps, je les ménage. - Non, non, non, non. - J’ai rendez-vous avec ma tabacologue. - Tabalo, tabacologue ? - Mon tabacologue. - Bientôt ? - Oui bientôt. - Je peux vous (13) ………………..., hein ? - Vous savez pas où c’est. Ça risque d’être très embouteillé, là-bas. - Non mais c’est pas grave du tout. De toute façon, je me faufile. - De toute façon, j’en ai pas pour longtemps - C’est pas grave. De toute façon, je vous attends (14) ………………....
La fumée dans les yeux, un éléphant me regarde
J'ai la tête qui part
Les fenêtres se tordent, les portes vont éclater
Le plancher vacille, les murs vont s'effondrer
La fumée dans les yeux, un éléphant me regarde
J'ai la tête qui part
Les couleurs ne sentent plus rien, le noir me colle aux mains
Et mon alouette verte ne deviendra plus bleue
La fumée dans les yeux, un éléphant me regarde
J'ai la tête qui part
A l'ombre des mosquées, tu prétendais m'aimer
Mais moi je ne t'aime pas, je veux juste m'emmêler avec toi
La fumée dans les yeux, un éléphant me regarde
J'ai la tête qui part
Je veux m'emmêler avec toi, tes jambes et tes bras et le reste de toi
Je veux m'emmêler avec toi
Ne me parle pas du reste avec toi, avec toi, avec toi
Et voici la comparaison entre la Belgique et le Japon. J'insiste que certains chiffres sont incertains en ce qui concerne le Japon, par exemple pour le SIDA.